par Christine64 » Mer 23 Oct 2019 07:35
Une fois la douleur installée, elle reste présente debout, moins forte puisque les nerfs ne sont pas comprimés par l'assise.
Les précautions en effet sont prises lorsque malheureusement nous sommes atteints par ces pathologies. Comment peut-on savoir qu'il ne faut pas s'asseoir de telle ou telle façon, ne pas faire de sport où il y a trop d'assise (vélo) , éviter les sports où l'on chute (sports de combat judo, parachute etc ...) ou l'assise est aussi très sollicitée (cheval, moto, vélo ....).
Et si toutes les personnes qui pratiquent ces diverses activités savaient que l'on peut être, éventuellement, atteintes par ce mal elles arrêteraient, sauf que si nous sommes atteints "c'est la faute "à pas de chance", ou une constitution particulière de nos nerfs dans ces endroits là ) ... en fait, nous ne saurons jamais.
On ne devrait pas accoucher non plus, on ne devrait pas avoir d'opérations par les voies naturelles non plus ...
Non, vraiment je reste persuadée qu'à un moment donné de notre vie nous avons malmené (PEUT-ETRE) (ou ils ont été malmenés par diverses opérations) nos nerfs et que ceux-ci sont irrémédiablement abimés, compressés ou je ne sais quoi.
Quant au (x) diagnostic (s) posés par des méthodes différentes selon l'endroit où l'on voit voir un (une) "spécialiste" je reste sceptique.
Bref, une fois atteint (e) la seule précaution , comme le dit souvent mon amie Hélène, c'est d'éviter autant que faire se peut, l'assise. Pas facile car la vie nous oblige à l'assise quand même, salle d'attente, cinéma, théâtre, ordinateur, repas ..... alors l'humain n'est pas fait pour être assis parait-il mais il n'est pas fait non plus pour être debout statique, alors faut-il être tout le temps en déplacement ? la vie, notre vie de tout à chacun et ce quel que soit son âge, nous dit bien que ce n'est pas possible.
Il n'y a pas de bonnes solutions, il n'y a pas de remèdes, il y a à subir, accepter, vivre avec, faire en sorte de ménager ces parties touchées et être écouté, compris, soutenu, bien traité. Je suis sûre que ce qui vient de terminer ma phrase précédente (écouté, compris, soutenu, bien traité et non mal traité (maltraité) est le plus dur à obtenir. Une simple reconnaissance de ce que nous vivons sans que cela se voit me parait être importante pour ne pas passer pour des comédiens, simulateurs et "emm .... deurs" pour les autres (connaissances, amis et famille).
Christine
Un coucou à mes amis ici présents (es) Hugues, Hélène, Françoise, je crois que Jo va entrer dans ma famille d'amis virtuels pour certains et réels pour d'autres car nous nous sommes vues avec Hugues et Hélène, car j'aime bien ta façon d'écrire, ton analyse, tes explications, ton recul, et puis vos échanges avec Hélène sur les "ronds de cuir" m'ont plu car on peut, tout en parlant de nos douleurs, continuer à s'enrichir et cela est indispensable pour qui veut continuer à vivre.
début maladie 2007 - diagnostiquée NP en 2008 - Ne supporte aucun médicament- Tramadol, Rivotril et Tens.NP confirmée janvier 2014 - confirmation à Nantes en mai 2014 NP et NC - pas opérée.
Janvier 2015 suivie à Toulouse à l'hôpital PPR pour éventuel implant d'un NS. Depuis plus de nouvelles de Toulouse