par maudits maux » Sam 7 Jan 2017 20:12
Pas NP mais clunéalgie et coccygodynie.
Le soir et la nuit :
- pas de douleurs de décharges ou autres en position couchée mais des brulures augmentées par pression en position couchée sur le dos, surtout sans versatis ou si le versatis n'a pas encore fait effet sur l'allodynie.
- brulures cessent seulement quand endormie
- pas réveillée par la douleur mais douleur ressentie si réveillée pour uriner.
Je ne prends pas de somnifères mais de la codéine.
L'intensité des douleurs dans la journée est nettement liée à la qualité et à la durée du sommeil.
Les douleurs plus fortes viennent plus tard, dans la journée si j'ai bien dormi et longtemps.
Mais ceci ne vaut que si je ne reste pas assise longtemps, que je ne marche que chez moi, si pas de trajet en voiture, ...
A l'inverse, des douleurs plus fortes sont présentes plus tôt si mon sommeil a été insuffisant en qualité et quantité.
Dans ce cas, je pense que mon cerveau n'a pas pu suffisamment décroché de la douleur chronique envahissante.
Origines douleurs : chute sur verglas en janvier 2009 (A.T) avec séquelles = coccygodynie non opérée et névralgie clunéale inférieure opérée en mai 2014 mais avec une amélioration insuffisante.
Conditions de vie : arrêt de mon travail suite refus de poste adapté et autres par l'employeur, mais une activité régulière et usante de lutte pour faire valoir mes droits auprès de l'administration (employeur public, MDPH) et d'une mutuelle assurance .
Pas de gros soucis d'argent et de famille.
Pas de jours et de soirs sans douleurs, mais seulement des nuances à apporter.
Dilemme rencontré ces temps-ci sur le forum : répondre à certains questionnements ou ne pas répondre pour ne pas affoler, ne pas augmenter le stress, ... Voilà , j'ai fini par répondre