POSSIBLES :
- voir la médecine du travail tant qu'il y en a encore
- déposer un dossier MDPH : demander RQTH mais aussi une fourchette d'incapacités et un appui pour un aménagement de poste
- selon le statut (public ou privé) et la taille de l'entreprise : contacter le CHSCT pour une expertise avant aménagement de poste.
Mais pour tout cela, il faut toute une batterie de documents médicaux et de diagnostics.
Sur ce point, j'ai été très satisfaite de ce que j'ai vécu à Nantes, même si je ne suis du tout pas "guérie".
Et il faut aussi devoir supporter :
- les soupçons de simulations de douleurs et de gènes fonctionnelles,
- l'attribution des douleurs au psychisme, ...
- des formes de maltraitances : par certains soignants ignorant ce type d'affections rares et les retentissements, au travail, ...
Après avoir fait le maximum pour continuer à travailler pendant plus de 5 ans, en souffrant, avec des soins continus, des arrêts de travail, j'ai dû arrêter de travailler en raison de refus d'aménagements et d'adaptations de poste adaptés à névralgie clunéale et problème au coccyx = retraite avec décote.
J'avais obtenu tardivement un siège assis-debout : trop tard pour prévenir une aggravation de mon état .
Il n'était pas satisfaisant car l'assise n'était pas adaptée et pas sur mesure.
Et contrairement aux promesses, je n'ai jamais eu de siège à l'essai avant commande et avant la réception du matériel dont l'échange m'a été refusé par l'employeur public.
BON COURAGE !