Re: Petite enquête: colopathie et NP? doulaires dentaires et
Posté: Jeu 28 Avr 2016 19:18
Mais pour cela il faut avoir une intélorance au lactose, ce qui n'est pas le cas de tout le monde.
Voici un article sorti du site Améli (Sécurité Sociale) ; il peut y avoir des intolérances et le lait peut provoquer des inflammations, mais pas à tous les coups. Il faut pour cela justifier, par des analyses, des tests allergènes :
l'article : "Intolérance au lactose : définition et symptômes
L’intolérance au lactose est un problème de digestion qui témoigne d’un déficit d’une enzyme, la lactase. Celle-ci ne digère plus le lactose qui se retrouve au niveau de l’intestin où il fermente. Cela entraîne des symptômes digestifs inconfortables, mais sans complication possible, contrairement à une allergie.
Lactose, intolérance au lactose, déficit en lactase : quelques définitions
Le lactose est le principal sucre du lait. On ne le trouve d’ailleurs que dans le lait et ses produits dérivés.
Le lactose nécessite une enzyme, la lactase, pour être digéré. La lactase, normalement produite par l'intestin, décompose le lactose provenant de l'alimentation en deux autres sucres (glucose et galactose), qui peuvent être facilement absorbés par l’intestin.
Le lactose joue un rôle nutritif indispensable dans la phase de vie initiale d’un nourrisson et pose rarement problème à cet âge. C’est après le sevrage maternel, ou l’arrêt du biberon, que l’activité de la lactase diminue. Et ce, dans des proportions très variables suivant les individus, et sous l’influence de la génétique.
Consulter l’article "Le lait comme seul aliment lors des premiers mois"
Les personnes qui souffrent d'intolérance au lactose ne produisent alors plus assez de lactase, ou quelquefois plus du tout. Il existe en effet divers degrés d’intolérance selon la quantité de lactase encore produite par l’individu.
En cas d’intolérance au lactose, celui-ci n’est pas digéré et descend dans le colon (gros intestin) où il est fermenté par des bactéries. Ce processus provoque la production de gaz et un appel d’eau dans le gros intestin, ce qui entraîne une accélération du transit intestinal avec diarrhées, gaz et douleurs.
Intolérance au lactose : les symptômes
L’importance des symptômes varie d’un individu à l’autre. Elle est fonction de l’activité lactase restante et de la quantité de lactose absorbée.
Les symptômes apparaissent le plus souvent entre 30 minutes et 2 heures après l'ingestion de la nourriture contenant le lactose. Ils sont de deux types :
des symptômes intestinaux tels que gaz, sensation de ballonnement, crampes abdominales, diarrhée, nausées, vomissements ;
des symptômes généraux comme des maux de tête, une fatigue, des douleurs musculaires et articulaires, etc.
Les causes de l’intolérance au lactose
Le plus souvent, il s’agit simplement d’une diminution progressive de l’activité de la lactase entre la fin de l’enfance et le début de l’âge adulte. Cette diminution provient d’une adaptation normale à la diversification de l’alimentation, et non d’une maladie.
Chez l’enfant, une intolérance passagère, après une gastro-entérite par exemple, est bien plus fréquente qu’une intolérance permanente.
Consulter l’article "Les symptômes et les facteurs de la gastroentérite chez l'enfant"
Il est tout à fait exceptionnel qu'un nourrisson soit déficient en lactase. Il s’agit alors d’une maladie rare, le déficit congénital en lactase.
LIEN UTILE
Le déficit congénital en lactase est une maladie rare.
Pour être informé sur cette maladie, s’exprimer librement et être écouté, appeler Maladies Rares Info services au 01 56 53 8136 (numéro non surtaxé).
Une équipe de professionnels répond à toutes vos questions.
L'intolérance au lactose qui se développe avec l’âge touche une grande partie de la population adulte, à divers degrés. Pour la majorité des individus, le seuil de tolérance est cependant assez élevé pour qu’une consommation raisonnable de produits laitiers (c’est-à-dire un bol de lait) ne génère aucun symptôme digestif.
L’intolérance au lactose peut aussi être acquise ou secondaire à une affection de l’intestin grêle (maladie cœliaque, gastro-entérites ou maladie de Crohn). Elle peut durer parfois plusieurs semaines, le temps que la muqueuse intestinale guérisse.
L’intolérance au lactose ne doit pas être confondue avec l’allergie aux protéines de lait, bien plus rare et plus grave. Celle-ci provoque des symptômes digestifs (douleurs abdominales, vomissements, diarrhée), mais aussi respiratoires (congestion nasale, toux, éternuements), et dermatologiques (urticaire, eczéma).
L’intolérance au lactose n’entraîne pas de risque de complications, contrairement à l’allergie aux protéines de lait.
C'est donc bien une intolérance au lactose qui se doit d'être vérifée ; un essai de privation pendant quelques jours, semaines va vite nous dire si les douleurs dues à nos névralgies sont dues au lait .... si cela n'a aucun effet vous pouvez reprendre le lait comme vous aimiez le faire.
C'est ce qui a été fait pendant une dizaine de jours dans une clinique recevant des malades de fibromyalgie : sur la fibromyalgie, mon amie qui y était, n'a eu aucune amélioration notoire sur ses douleurs et elle a été plutôt mal en point des substituts qu'on lui a donnés pour remplacer le lactose. Ils ont fait la même chose avec le gluten. Il ne faut pas faire les deux ensemble car on ne saura jamais à quoi on est intolérant, si on l'est ... rien n'est moins sûr.
Donc l'affirmation par les uns et les autres est à mon avis à prendre avec précaution, chacun doit se faire sa propre opinion en essayant effectivement.
Nous ne sommes donc pas tous intolérants.
Ensuite, lorsque l'argument que le lait de vache ne peut être adapté qu'au veau, j'ai quand même une interrogation.
Imaginez que votre chi**** ou votre chatte décède après avoir mis au monde ses petits. A quoi seront-ils alimentés par l'humain ? par du lait de vache en priorité et la vie de ces petits chats et petits chiens est préservée. Alors !!!! comme quoi je crois que c'est chaque personne qui peut le dire et après tests : on absorbe plus ou moins le lactose, l'organisme s'y habitue ou s'y déshabitue mais on n'est pas tous pareils. C'est pour cela qu'il ne faut pas en faire une généralité.
Voici un article sorti du site Améli (Sécurité Sociale) ; il peut y avoir des intolérances et le lait peut provoquer des inflammations, mais pas à tous les coups. Il faut pour cela justifier, par des analyses, des tests allergènes :
l'article : "Intolérance au lactose : définition et symptômes
L’intolérance au lactose est un problème de digestion qui témoigne d’un déficit d’une enzyme, la lactase. Celle-ci ne digère plus le lactose qui se retrouve au niveau de l’intestin où il fermente. Cela entraîne des symptômes digestifs inconfortables, mais sans complication possible, contrairement à une allergie.
Lactose, intolérance au lactose, déficit en lactase : quelques définitions
Le lactose est le principal sucre du lait. On ne le trouve d’ailleurs que dans le lait et ses produits dérivés.
Le lactose nécessite une enzyme, la lactase, pour être digéré. La lactase, normalement produite par l'intestin, décompose le lactose provenant de l'alimentation en deux autres sucres (glucose et galactose), qui peuvent être facilement absorbés par l’intestin.
Le lactose joue un rôle nutritif indispensable dans la phase de vie initiale d’un nourrisson et pose rarement problème à cet âge. C’est après le sevrage maternel, ou l’arrêt du biberon, que l’activité de la lactase diminue. Et ce, dans des proportions très variables suivant les individus, et sous l’influence de la génétique.
Consulter l’article "Le lait comme seul aliment lors des premiers mois"
Les personnes qui souffrent d'intolérance au lactose ne produisent alors plus assez de lactase, ou quelquefois plus du tout. Il existe en effet divers degrés d’intolérance selon la quantité de lactase encore produite par l’individu.
En cas d’intolérance au lactose, celui-ci n’est pas digéré et descend dans le colon (gros intestin) où il est fermenté par des bactéries. Ce processus provoque la production de gaz et un appel d’eau dans le gros intestin, ce qui entraîne une accélération du transit intestinal avec diarrhées, gaz et douleurs.
Intolérance au lactose : les symptômes
L’importance des symptômes varie d’un individu à l’autre. Elle est fonction de l’activité lactase restante et de la quantité de lactose absorbée.
Les symptômes apparaissent le plus souvent entre 30 minutes et 2 heures après l'ingestion de la nourriture contenant le lactose. Ils sont de deux types :
des symptômes intestinaux tels que gaz, sensation de ballonnement, crampes abdominales, diarrhée, nausées, vomissements ;
des symptômes généraux comme des maux de tête, une fatigue, des douleurs musculaires et articulaires, etc.
Les causes de l’intolérance au lactose
Le plus souvent, il s’agit simplement d’une diminution progressive de l’activité de la lactase entre la fin de l’enfance et le début de l’âge adulte. Cette diminution provient d’une adaptation normale à la diversification de l’alimentation, et non d’une maladie.
Chez l’enfant, une intolérance passagère, après une gastro-entérite par exemple, est bien plus fréquente qu’une intolérance permanente.
Consulter l’article "Les symptômes et les facteurs de la gastroentérite chez l'enfant"
Il est tout à fait exceptionnel qu'un nourrisson soit déficient en lactase. Il s’agit alors d’une maladie rare, le déficit congénital en lactase.
LIEN UTILE
Le déficit congénital en lactase est une maladie rare.
Pour être informé sur cette maladie, s’exprimer librement et être écouté, appeler Maladies Rares Info services au 01 56 53 8136 (numéro non surtaxé).
Une équipe de professionnels répond à toutes vos questions.
L'intolérance au lactose qui se développe avec l’âge touche une grande partie de la population adulte, à divers degrés. Pour la majorité des individus, le seuil de tolérance est cependant assez élevé pour qu’une consommation raisonnable de produits laitiers (c’est-à-dire un bol de lait) ne génère aucun symptôme digestif.
L’intolérance au lactose peut aussi être acquise ou secondaire à une affection de l’intestin grêle (maladie cœliaque, gastro-entérites ou maladie de Crohn). Elle peut durer parfois plusieurs semaines, le temps que la muqueuse intestinale guérisse.
L’intolérance au lactose ne doit pas être confondue avec l’allergie aux protéines de lait, bien plus rare et plus grave. Celle-ci provoque des symptômes digestifs (douleurs abdominales, vomissements, diarrhée), mais aussi respiratoires (congestion nasale, toux, éternuements), et dermatologiques (urticaire, eczéma).
L’intolérance au lactose n’entraîne pas de risque de complications, contrairement à l’allergie aux protéines de lait.
C'est donc bien une intolérance au lactose qui se doit d'être vérifée ; un essai de privation pendant quelques jours, semaines va vite nous dire si les douleurs dues à nos névralgies sont dues au lait .... si cela n'a aucun effet vous pouvez reprendre le lait comme vous aimiez le faire.
C'est ce qui a été fait pendant une dizaine de jours dans une clinique recevant des malades de fibromyalgie : sur la fibromyalgie, mon amie qui y était, n'a eu aucune amélioration notoire sur ses douleurs et elle a été plutôt mal en point des substituts qu'on lui a donnés pour remplacer le lactose. Ils ont fait la même chose avec le gluten. Il ne faut pas faire les deux ensemble car on ne saura jamais à quoi on est intolérant, si on l'est ... rien n'est moins sûr.
Donc l'affirmation par les uns et les autres est à mon avis à prendre avec précaution, chacun doit se faire sa propre opinion en essayant effectivement.
Nous ne sommes donc pas tous intolérants.
Ensuite, lorsque l'argument que le lait de vache ne peut être adapté qu'au veau, j'ai quand même une interrogation.
Imaginez que votre chi**** ou votre chatte décède après avoir mis au monde ses petits. A quoi seront-ils alimentés par l'humain ? par du lait de vache en priorité et la vie de ces petits chats et petits chiens est préservée. Alors !!!! comme quoi je crois que c'est chaque personne qui peut le dire et après tests : on absorbe plus ou moins le lactose, l'organisme s'y habitue ou s'y déshabitue mais on n'est pas tous pareils. C'est pour cela qu'il ne faut pas en faire une généralité.