FORUM NEVRALGIE PUDENDALE

Bonjour,
Je suis tombé par hasard sur le compte -rendu très détaillé d’une thèse récente sur les névralgies pudendales et clunéales. On y parle bcp de Nantes mais aussi de confrères belges et les résultats concernant les améliorations semblent plus conformes que ce que l’on entend parfois. Le lien est  D.....ccsd.cnrs.fr

Correction, le lien est : D.....ccsd.cnrs.fr

Bon, il ne veut pas. Remplacez D… par D..... Le reste du lien est correct.

C’est une blague ? Il faut écrire D.... à la place du D…

Il faut écrire D.... en minuscule.

Bon, j’abandonne. Le lien est correct sauf le D… qu’il faut remplacer par le nom de l’auteur des « Trois mousquetaires «  en minuscule. Impossible de l’envoyer, désolé.

Augustin , je viens à ton secours ...!

J'ai réussi à trouver cette thèse en tapant sur internet : névralgie pudendale thèse cnrs

très complète, cette thèse demande un long temps de lecture .... assise ... pas top avec la "np" !

Ouf, merci Hélène. On voit par là que je subis plus l’informatique que je ne la maîtrise. Oui, la thèse est longue mais intéressante. J’en profite pour te renvoyer mes vœux les meilleurs possibles ainsi qu’à toutes celles et ceux du forum. Gardons espoir et courage. À bientôt.

"Dans notre cohorte, des discordances d’évaluation par le patient ont été constatées.
56 patients présentaient une diminution de l’intensité de la douleur et/ou une augmentation de la durée maximale de station assise sans satisfaction au traitement.
Les critères d’évaluation unidimensionnelles, satisfaction au traitement, intensité maximale de la douleur et durée
maximale de station assise, ne nous ont pas semblé refléter le bénéfice réel des patients.
L’équipe soignante doit encourager une reformulation des objectifs thérapeutiques, promouvoir
une modification du comportement du patient douloureux chronique et le rendre acteur de
l’amélioration de sa qualité de vie, afin d’éviter les attentes irréalistes et les déceptions amères.

No statement... je préfère ne rien à écrire, cela risquerait d'être un peu trop "amer"...

Et pourtant dieu sait que j'ai une grande confiance en la médecine et suis reconnaissant de tout ce qu'ils ont essayé de faire pour moi.

Bon, après, à la réflexion j'imagine que parfois c'est bien ce qui se passe : j'entends par là quelqu'un qui va mieux mais qui espérait trop reprendre une vie normale...

C'est juste qu'en temps que patient "cool" (dixit le chir), je suis très sérieux quand j'affirme n'avoir aucune amélioration dans mon cas précis. Après c'est pas de chance, c'est comme ça. Dur à accepter, mais je tiens à être cru, écouté, et j'ai la chance d'avoir une épouse qui me croit, et des enfants qui me portent à bouts de bras sans le savoir (même si je le leur dis parfois).

Au fait, merci Augustin pour le lien.