par Aurélien » Mar 10 Jan 2023 12:49
Un copain qui est passé par la même opération que moi, celle de Nantes, m'a confirmé que c'était très dur et que pour lui l'amélioration n'est apparue qu'au bout d'un an et s'est poursuivie jusqu'à deux ans postop.
Ce n'est pas la première fois qu'on me le dit mais ce gars-là je le connais personnellement donc ça me réconforte, surtout que toute la semaine dernière c'était douleurs +++ malgré tramadol +++ et reprise du Laroxyl, le soir à très faible dose pour le moment. Et après un weekend de relative accalmie, ça a repris de plus belle hier matin, sans se calmer pour le moment.
Début mars je reprendrai le travail même si je dois le faire dans cet état. Car j'ai l'impression de disparaître complètement, de n'être plus rien, un point dans l'horizon des gens que je connais, jusqu'à mes plus proches. D'être juste un boulet, un poids, une charge. J'ai besoin de retravailler, de retrouver mon job qui me plaît vraiment, quitte à cachetonner à fond. Je vais essayer de dormir sur place au moins une nuit par semaine, pour éviter de me taper les 1h30 retour-aller de route.
Mais j'espère vivement que d'ici-là j'irai mieux, car sinon ça va être vraiment super dur.
Homme, 36 ans, brûlures atroces verge / testicule gauche depuis 2015
Diagnostiqué NP gauche en 2019
Prégabaline 600 mg/24h, tramadol 300 mg/24h
Infiltré deux fois (Besançon puis Nantes), opéré une fois du NP gauche (septembre 2022 à Nantes)