Bonjour, un nouvel algologue très au fait des douleurs pelviperineales vient de m'affirmer que plusieurs cas similaires au mien avaient été notablement améliorés grâce à l'administration de Marinol.
Pourquoi donc les autres médecins algologues n'en parlent pas et s'accrochent aux antiepileptiques comme lyrica, ou se refugient derrière les antidépresseurs, voire même des morphiniques quand on connait leurs effets secondaires ?
Combien de temps encore devra t'on souffrir ?