Peut-être que juste le fait d'injecter la zone, donc de créer de la pression peut suffire dans certains cas à libérer le nerf de ce qui l'emprisonne...
Ça sert à confirmer que l'on souffre bien du nerf et pas d'autre chose qui aurait à peu près les mêmes symptômes (problème de vessie, d'urètre, prostate, gynéco, osseux ou plein d'autres choses desquelles on aurait pu passer à côté).
Mais bon dans les faits ce n'est pas toujours aussi simple
C'est vrai que quand on arrive dans une équipe spécialisée, le protocole est plus ou moins standard :
kiné + médocs -> infiltration(s) test -> chirurgie
puis si les résultats ne sont pas satisfaisants, on passe à des expérimentations plus récentes et "palliatives" (mais qui peuvent être bien efficaces pour certaines) :
botox, infiltration du ganglion impar, stimulation transcrannienne, électrostimulateur implanté