Merci pour ces conseils Sam. Continuer le sport le sport comme tu le fais (train et ski de fond) est assez remarquable.
Depuis l’arrêt du vtt, je recherche désespérément une nouvelle pratique sportive « outdoor » sans succès pour l’instant. Je marche beaucoup : 20km par semaine minimum avec du dénivelé afin d’essayer de garder une forme minimum. Je pense en effet que la marche est l’activité la plus saine quand on est atteint de NP.
J’ai eu également le même problème que toi quand j’ai tenté quelques sorties en vtt : je n’avais pas la conscience tranquille et du coup le plaisir était nettement moindre… je garde cependant l’espoir d’en refaire un jour si guérison. Mais si j’ai cette chance, ça sera à un rythme et à une fréquence bien plus faibles. Par contre, ce ne sera pas du vélo couché : la route très peu pour moi
Je me posais également une question au sujet du ski alpin : en dehors du risque de chute, y’a t’il une contre indication avec la NP selon vous ?
Hier, un médecin m’a prescrit un uro stim 2, un tens donc à raison de 3 séances d’une heure par jour pendant 3 mois (!!!). Je vais devenir une vraie anguille électrique ! Elle m’a également proposé du botox. C’est prévu pour janvier. J’ai également arrêté tous les médicaments sur ses conseils, au vu de leur faible avantage (peu de réduction des douleurs) et des effets secondaires.
NP« myofasciale » en 2007. Retour symptômes en 2021 (VTT depuis 2019). Brûlures pubiennes/ Pollakuirie/Brûlures perianales. Diagnostique : syndrome douloureux pelvien chronique. Arrêt des médicaments et gestion des émotions par méditation et yoga.